Quand une partie de plaisir charnel vire carrément au drame, c'est vraiment pénible et d'une grosse tristesse. C'est une telle scène portant une énorme charge malheureuse, qui s'est produite dans un hôtel situé au quartier « Assonvon », dans la commune de Yopougon. C'est quoi cette malheureuse histoire ?
A en croire nos sources, nous sommes dans la nuit du jeudi 7 mars 2019, quand P.T, déclarant en douanes, qui tend vers les 70 ans, se présente aux portes de l’hôtel en question. Un petit hôtel très discret, qui incite à la virée sexuelle.
L'homme est flanqué de sa petite nana, une ravissante jeune fille qui n'a pas encore 30 ans. Elle répond aux initiales de P.B.D, et c'est une aide-soignante. Il est un peu plus de 22h.
A la réception, l'homme paie pour une nuitée. Pas question pour lui donc, de faire les choses à la va-vite, avec une « chair si tendre » en sa compagnie. Une heure pour une passe seulement, n'est pas le scénario qui est inscrit sur le calepin du déclarant en douanes. Cette gonzesse, il faut la tenir en « captivité » toute une nuit, et en profiter sans modération.
Quand il leur est indiqué leur chambre, P.T demande à sa dulcinée, de juste marcher devant lui. Le temps pour lui, d'admirer au mieux le mouvement fessier montant et descendant de sa « go ». En tout cas, là commence son plaisir, en attendant les choses sérieuses de tout à l'heure.
A preuve, le déclarant en douanes, tout en regardant le postérieur de la jeune fille surmonté de rouleaux de bayas, dont les traces sont suffisamment visibles à travers la jupe, se caresse le menton. Un geste soutenu par un sourire en coin et un petit tour de passage de la langue sur les lèvres. Une façon de dire, qu'il va à l'instant lui montrer un insoupçonné savoir-faire en la matière, au point qu'elle ira rendre témoignage plus tard. Alors, si elle croit qu'il va se conduire en vieux gaga paresseux, qu'elle se détrompe. Lui sait des choses que la génération coupé-décalé ignore.
Une fois dans la chambre, les deux amants referment immédiatement la porte sur eux. L'homme ne perd pas de temps pour se déshabiller ; déclarant ainsi, ses « biens ». L'aide-soignante l'imite, et c'est parti pour un accrochage sexuel, tout en laissant de côté, ces conneries de préliminaires. P.T s'attaque donc tout de suite à la « surface de réparation », tel l'avant-centre d'une équipe de foot des années 30, ignorant les règles du hors-jeu.
Mais alors que les choses en sont là, environ une heure de temps après, la jeune fille ressort de la pièce avec fracas. Hébétée, elle court à la réception pour alerter le gérant de l'hôtel. Elle lui explique que son mec est en train de faire un malaise.
Le gérant de l’hôtel fonce tout de suite dans la chambre, et découvre son client étendu dans le lit, dans un état d’inconscience. Il secoue vigoureusement le déclarant en douanes, dans l'espoir de le voir réagir. En vain. Hélas, il finit par se rendre compte, que l'infortuné est mort.
La police, alertée, des agents se déportent sur les lieux du drame à 1h30' du matin. Au cours du constat d'usage, les policiers demandent à la jeune dame, ce qu'il s'est passé. Cette dernière, encore en état de choc, répond que son amant et elle se sont envoyés en l'air jusqu'à l'extase.
Et après ce premier rapport sexuel, ils s'offraient un petit temps de relaxation avant la reprise des « hostilités, quand elle a constaté que son compagnon éprouvait un mal fou à respirer. C'est ainsi que, prise de peur, elle est allée saisir le gérant de l'hôtel. Malheureusement... Et la triste suite est connue.
En attendant que l'enquête policière, renforcée par une autopsie, vienne éclairer sur la mort soudaine de P.T, le corps sans vie de ce dernier est enlevé et déposé à la morgue par les services des pompes funèbres.
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